Cette étude montre par exemple que faire l’acquisition d’un Smartphone reconditionné plutôt que d’un neuf permet d’éviter pour 87 à 64% d’impact annuel. L’étude a également permis d’observer des variations d’impacts significatives au sein de la filière du fait de pratiques variées concernant la prolongation de la durée de vie, l’ajout d’accessoires neufs, le changement de pièces systématisé ou non, l’utilisation de pièces de seconde main, le volume du packaging et les matériaux le constituant, le marché d’approvisionnement, le lieu de reconditionnement. La durée de vie des équipements est un contributeur majeur de leurs impacts. Afin de maximiser l’évitement d’impact permis par le reconditionné, plusieurs bonnes pratiques à destination des utilisateurs, reconditionneurs, plateformes et législateurs sont proposées dans l’étude.